
Dimanche 22 septembre. Nous quittons la superbe vue sur la Olifants River, de notre emplacement de camping de l’Aguias Pesquieras, dans Limpopo National Park. Direction la porte d’entrée centrale, appelée Giriyoudo, du kruger National Park qui est aussi un des postes de frontière entre le Mozambique et l’Afrique du Sud.
Jamais un passage en douane africain n’aura été aussi rapide et efficace : 20 minutes. Fréquentation très limitée, personnel efficace et aimable.
Puis c’est l’entrée au Kruger National Park. 20 minutes, sans réservation, en pleine période de vacances scolaires et pour lequel, certains sud-africains croisés, réservent une année à l’avance.
Nous misons sur la chance et les réponses apportées sur notre route. Parfois coincé dans une situation, nous ne savons pas quoi faire, quel comportement ou quelle décision prendre ? Je dis souvent : « je vais laisser infuser », voulant dire : je lâche l’idée quelques temps pour prendre du recul et y revenir plus tard…ou tout simplement une rencontre, un autre regard, permettront d’y voir plus clair et de trouver la réponse.
Grâce à la facture (preuve) d’une nuit passée dans Limpopo National Park, nous sommes autorisés à rentrer dans le Kruger National Park. Quitte à le traverser, si aucune place n’est trouvée. Cette petite astuce nous avait été donnée par Gilles, le guide breton rencontré sur la route, au Mozambique. « La réponse est sur la route » dis-je à Stéphane. La piste qui nous mène de Limpopo au Kruger est terriblement difficile
Et puis la chance. La Ranger, à l’entrée du Kruger, nous réserve une place au Letaba Camp site, suite à une annulation à l’instant. « Mais c’est très rare ! » nous précise-t-elle, « vous aurez du mal à trouver ! ».
Mais une bonne étoile nous guide. Nous trouvons à chaque fois un emplacement de camping, nous y passerons 5 jours et 4 nuits, grâce à une annulation du jour et une forte détermination.
Deux nuits au Letaba Camp (très convivial), une nuit à Satara Camp, et une nuit à Skukusa Camp. Nous retrouvons les Toyota et autres 4×4 des sud-africains, super équipés. Toujours blanches… « Pourquoi toujours blanches ? ». « A cause de la chaleur » nous dit-on.
KRUGER NATIONAL PARK
Un des plus grands parcs animalier d’Afrique du Sud est ouvert au public depuis 1927.Il faut plus de 18h de route pour parcourir Pafuni Gate au Nord, à Berg En Dal Gate, au Sud du parc. La traversée d’Est en Ouest peut se faire à plus de 3h30. La vitesse est limitée à 50 km/h sur la tarred road (route principale bitumée). Mais la moyenne est de 25km/h sur les autres pistes. Certaines pistes sont réservées aux 4×4, mais la plupart sont accessibles avec une voiture ordinaire.
Les routes sont bonnes et diversifiées. Tantôt bitume, tantôt poussière, sable ou petits cailloux. Les paysages sont plus arides au Nord qu’au Sud, où les rivières et les points d’eau sont plus abondants…cela veut dire aussi plus d’animaux.

Le temps est mitigé et fait le grand écart. Tantôt 32°, ensoleillé, le 1er et 5ème jour. Tantôt de 20° et nuageux, les jours intermédiaires. Mais voilà que le chauffage auxiliaire de Fendi se met en route le premier jour avec nos 32°. « Décidément il marche lorsqu’il ne faut pas ! », déclare Stéphane. Un peu plus loin, sur une aire de pique nique, Stéphane trouvera la solution pour arrêter le chauffage. J’ai l’impression d’être dans un sauna.

Les Big 5 : l’Eléphant, le Lion, le Buffle, le Rhinocéros et le Léopard.
« Nous quitterons le Kruger lorsque nous aurons vu les Big 5 ! » je lance à Stéphane, tout à fait du même avis. Au vue de la taille du Kruger, 5 jours sont nécessaires pour ce faire une idée du Parc.

Nous y croisons une quantité de Girafes, Eléphants, Buffles, Zèbres, Springboks, Steenboks, Bushbucks, Kudu, Impalas, Phacochères, Blue Wildebeest, Velvet Monkey, Chacma Baboon, ….
Quelques Crocodiles, Water Minotor, Hippopotames, Lions, Léopards, Hyènes, Black Mamba (serpent très dangereux)…
Des merveilleux oiseaux de toutes les tailles et couleurs : Great Egret, Heron, Helmedet Guineafowl, Martial Eagle, Reed Cormorant, Kori Bustard, Southern Yellow-billed Hornbill, Blacksmith Lapwing, Redbilled Hornbill, Southern Ground Hornbill, Longtailed Shrike, Hooded Vulture, White-headed Vulture, Lilac-brested Roller (mon préféré), Saddle-billed Stork, Glossy Starling, ….
La plupart des oiseaux sont difficiles à prendre en photo, surtout avec un Iphone où le zoom est limité.

Nous roulons 6 à 7 h, par jour, sur les pistes du Kruger. Plutôt fatiguant à regarder, repérer les animaux et conduire en même temps. Une bonne douche le soir et un repas préparé rapidement et nous voilà couchés de bonne heure vers 20h ! Que faire d’autre lorsqu’on est à l’extérieur et qu’il fait nuit ? Lire est devenue pour nous la principale occupation, bien au chaud sous la couette, dans notre cocon de Fendi !
Après avoir quitté l’Afrique du Sud en hiver, en juin dernier, notre retour se fait au printemps. Mais le soleil se couche toujours vers 17h30 et la nuit tombe à 18h. Rien ne change à cela et nous avons pris le rythme.
Il n’y a que le premier soir que nous nous couchons vers 22h. Notre arrivée au Camping Letaba s’est faite vers 15h30. Un groupe d’amis sud-africains nous fait signe de nous approcher et nous conseille de camper proche des clôtures. « Pour entendre les animaux la nuit » précise Louis, un des gars du groupe d’amis. « Installez-vous tranquillement et venez vous rafraîchir ensuite avec une bonne bière bien fraîche ! » lance Gavin, un des autres gars du groupe.
C’est formidable pour nous qui venons juste d’arriver en Afrique du Sud. Nous passons un excellent moment à discuter avec eux, et même toute la soirée. Le petit groupe est constitué de 3 couples : Jeannie & Gavin, Debbie & Louis Joubert de Prétoria (ils portent le même nom de famille que Félix et Léa , mes enfants, et Domi, leur papa) et Tania & Johan de Limpopo. Ils se retrouvent une fois par an pour un camping de plusieurs jours. Ils sont fans de la France et surtout du Tour de France et espèrent un jour y assister en spectateurs. Ils connaissent également Nantes. Un sud africain, nommé Nathaniel y est installé et diffuse une émission télévisée, semi comique et gustative, en Afrique du Sud.
Ils sont tous super sympas, les gars cools, les filles rigolotes, un groupe soudé et nous espérons nous revoir un jour, en France, maybe ?
Après l’apéro, un starter est servi dans un petit verre, au nom de « milk cake-coffie » (je crois) : un fond de vodka, lait concentré sucré, saupoudré de cannelle, à boire « coup sec ».
Ils nous invitent également à nous joindre à leur dîner. Après le Mozambique et son choix limité en victuailles, nous retrouvons une convivialité et une abondance gustative qui fait du bien à notre cœur et à notre estomac.
Au menu : Crumble Pap, Ribs d’agneau grillé au Braai, confiture d’oignons, sauce Chakalaka, betteraves et haricots en conserves « fait maison », le tout accompagné d’un Merlot rouge sud-africain et rebelote pour un finisher (le même que le Starter).
Nous échangeons nos coordonnées et nous promettons de garder le contact.
J’entends Stéphane ronfler (« même pas vrai » dixit Stephane) toute la nuit, c’est pour dire que la soirée était réussie…
Le deuxième soir, un autre groupe de sud africains, une famille avec leurs deux fils mariés et leurs enfants, campent à nos côtés. Le lendemain ils nous offrent du Biltong (viande séchée) et des Rusks, petits gâteaux secs très appréciés en Afrique du Sud. La belle fille me donne la recette.
Recette des RUSK :
1 kg de Farine, 500 gr de beurre, ½ l de lait, 400 gr de sucre, 1 cuillerée de sel, 2 œufs, 400gr de fruits secs (noix, raisins secs, noisettes,…).
Mélanger le beurre et le sel à la farine. Battre les œufs et mélanger avec le lait. Mettre dans un plat, la pâte fait 2cm de hauteur. Cuire au four à 160 ° pendant une heure. Laisser au four toute la nuit à 75°.
Couper en petits morceaux rectangulaires. A déguster avec un café ou un thé.
Un autre soir nous en profitons pour faire griller de la viande sur le Braai de nos voisins, une famille sud africaine de 3 générations.

Petite devinette : Pourquoi la porte de cette case est-elle si basse ?
Vos réponses dans les commentaires SVP
D’aventure en aventure…..
Induna Adventures à Hazyview.
A la sortie du parc Kruger, nous sommes à quelques kilomètres de chez Jürgens, un des pêcheurs rencontrés au Botswana, le premier soir de notre arrivée. Jürgens tient un parc d’aventures avec ses deux frères. Ils proposent du Quad, Zipline, Rafting, Canyoning, Paint ball, balades à cheval, Mountain biking, Tir à l’arc,…

Jürgens et sa petite famille : Etly, son épouse , Jurgens (6 ans)et Etly (5 ans), ses enfants (ils ont les mêmes prénoms que leurs parents), nous accueillent chaleureusement dans leur maison contemporaine, aux baies vitrées avec vue sur le lac et les forêts. « C’est une maison comme ça que j’aimerais avoir ! » dit Stéphane. Jurgens tient à ce que nous dormions dans la chambre d’amis du bas. Lit king size. Petite salle de bain privative. Nous retrouvons un peu de confort délaissé ces derniers mois de vie de baroudeurs. Cerise sur le gâteau : le fauteuil de massage !
La petite famille est pleine d’énergie. Nous arrivons à un moment où ils sont très occupés. Ils accueillent et s’occupent d’un groupe de jeunes enfants défavorisés et placés en famille d’accueil. Ces derniers sont là pour une semaine. Jurgens organise activités et repas tous les jours pour cette quinzaine de jeunes.
Nous participons à l’activité de rafting, tube et Zipline avec eux. Les enfants s’amusent. Ca fait plaisir à voir et à entendre (leurs rires).
Nous nous amusons comme ces enfants. Nous tombons à l’eau plusieurs fois. Stéphane se fait renverser par une branche. Je me disais bien que ça filer vite, tout d’un coup. Je me retourne et il n’est plus là ! Lors d’une autre activité mon téléphone tombe à l’eau !! Je voulais aider Etly à sortir de l’eau et nous tombons toutes les deux sur les pierres glissantes. Grosses rigolades !!!
Jurgens et Etly nous mettent vraiment à l’aise et nous proposent de faire « comme chez nous » insiste Jürgens. « Vous restez le temps que vous voulez ». C’est vraiment très généreux de leur part. Ce sont des vrais courants d’air. Ils vont et viennent, les enfants sont libres et marchent pieds nus. Jürgens est investit dans plein de projets. Plantations de Café, gingembre et Macademia*. « D’où puisez-vous toute cette énergie ? », je demande à Jurgens. Et voici ce qu’il me répond : « je bois cette boisson tous les matins ».
*
La recette magique de Jurgens Macadémia Plantation de café
La potion magique du matin :
Coupez en petits morceaux : carottes, gingembre, bananes, pommes, un peu de lait, un peu d’eau et du miel. Mixez le tout et dégustez.
Godswindow Chutes de Lisbon
Le Drachensberg. Les Falls de Berlin et Lisbon avec sa route panoramique.
Cette route nous amène vers des hauteurs, forêts et chutes. Paysages suisses, vosgiens, dégradés de vert, boisés, routes sinueuses. C’est la région de l’escarpement du Dragensberg à l’est de Mpumalanga. Nous admirons la vue sur God’sWindow.
Nous nous arrêtons à Graskop.
Nous campons au Panorama Camp. Vue splendide sur les rochers d‘en face. Emplacements spacieux et équipés d’un braai, d’électricité et lumière.

Jane & John, sud-africains, sont installés un peu plus loin avec leur Defender blanc et leur tente. Ils sont en voyage depuis 3 ans et ne rentrent que pour les fêtes de fin d’année où ils en profitent pour retrouver leurs 3 filles et 6 petits enfants. « Je les trouve beaux », me dit Stéphane. « Et ils ont l’air très gentils », je rajoute. Nous les invitons à prendre un café, thé en fin de soirée.
Le lendemain, balade dans les environs pendant deux heures. Deux femmes, nous demandent si nous sommes perdus et nous accompagnent, pour nous montrer le chemin. Au retour, une mère, avec ses deux enfants. Ils portent des sacs de courses lourds. Stéphane, gentlemen et toujours prêt à rendre service, se propose de les aider. Le chemin se fait ensemble et libère la parole. Cela pourrait paraît curieux, des « blancs » portant les sacs des « blacks », ici en Afrique du Sud. Les quelques personnes croisées s’étonnent et interpellent Marie Florence. Elle nous explique qu’elle travaille dans une maison de retraite. « Je vis dans une maison en dur : 2 chambres, 1 salon, une cuisine et une salle de bain. Pas de loyer à payer. Le gouvernement nous aide » me confie-t-elle. Mais l’école est payante. Le gouvernement verse des allocations de 420 rands par mois par enfant (25 euros). C’est déjà ca ! Nous encourageons les enfants à bien travailler à l’école. La maman acquiesce. L’éducation est primordiale. Nous en avons pris conscience d’autant plus ici en Afrique.
Nelspruit et la
tentative de vol.
Nous rejoignons Patrick à Nelspruit. Rencontré au Induna Adventures à Hazyview et ami de Jürgens, Patrick nous a proposé de le retrouver à Nelspruit. De centre commercial en
centre commercial, nous finissons par retrouver Patrick, sa femme Linda
et ses deux fistons pour un verre.
Mais auparavant, nous longeons une avenue où deux jeunes nous font un signe en direction du dessous de notre voiture. Comme nous avons eu des réparations récentes avec la boîte de transfert, Stéphane reste aux aguets. Je sens le coup foireux. A peine ai-je le temps de dire à Stéphane : « C’est des conneries, il n’y a rien ! » qu’il s’est déjà arrêté et qu’il sort de la voiture. « Non, n’y va pas ! » mais trop tard. Un des deux jeunes lui indique un, soit disant, problème sur le rebord arrière. Pendant ce temps l’autre saisi le téléphone de Stéphane et court pour s’échapper. Stéphane se rend compte subitement que son téléphone a disparu. Il jette les clés de la voiture sur son siège et prend le jeune en course. Je ne l’ai jamais vu courir aussi vite. Puis, il n’est plus dans mon champ de vision. Disparu. L’avenue est très animée et il y a beaucoup de monde. Certains ont suivi la scène, d’autres se demandent ce qui se passe. Le quartier est « black » à 100%. Subitement je prends conscience d’un éventuel danger, et les paroles de mise en garde des sud-africains rencontrés me traversent. Mais je me dis aussi que la peur ne m’aidera pas. Je saisis les clés, planque mes affaires et ferme les vitres, moyennement rassurée. Quelques minutes s’écoulent et je me demande ce que je vais faire. Je décide d’attendre. Ne pas bouger.
Stéphane revient très énervé, mais victorieux, son téléphone à la main et un tee-shirt noir, qu’il a réussi à arracher au voyou. Bravo ! Il m’épate ! Il a réussi. « Je les ai suivi à distance, en essayant de me planquer…puis j’en ai choppé un par le bras…le deuxième a lâché le téléphone par terre, il a eu peur je crois », me raconte t-il, en reprenant sa respiration (je vous rappelle qu’il a couru vite, très vite). Certainement par peur des représailles ! Faut pas l’embêter le Stéphane ! Encore un peu on finissait au poste de police pour coups et blessures. C’est une alerte pour nous. Soyons prudents, c’est l’Afrique du Sud, avec ses extrêmes.
Kaapsehoop
Patrick nous prête sa maison de vacances située à 40 km de Nelspruit, à Kaapsehoop. Un peu en hauteur à 1200 m. Des chevaux sauvages traversent la route. Il fait nuit. Il est plus de 18h. ll pleut, à peine arrivés. Un peu rassurés d’être au sec, au moins pour cette nuit. Ca tombe bien. Merci Patrick ! La nuit passée, nous prenons un bon breakfast !
Mardi 1er octobre.
Nous prenons la route pour le Swaziland, appelé maintenant eSwatini.
Nous nous arrêtons à Barberton pour prendre de l’essence, faire quelques courses et retirer quelques rands à la station d’essence. Chose à ne pas faire ! Stéphane met sa carte et le système se réinitialise et la carte ne ressortira plus !.
Téléphoner à l’assistance de la banque, mettre en boucle les managers de la station, nous aura pris plus de 3h. Obligés de dormir à Barberton, petite bourgade où tout le monde semble se connaître. Reinhard, guide et collectionneur de vieux objets, nous conseille de nous rendre au Bushwacked, un camping tenu par Catherine, londonienne, à quelques kilomètres de là. La vue est splendide. Catherine nous offre des œufs de son poulailler. Ses enfants refusent de manger les oeufs. Les poules et coqs sont leurs animaux de compagnie. L’aînée prend le coq dans ses bras comme un chat. Décidément ces sud-africains sont généreux et prêts à nous venir en aide. Stéphane doit inspirer pitié, il a tellement maigri !(Il en est fier).
Le lendemain Stéphane récupère sa carte dans la banque du centre de Barberton, après 2 heures d’attente. Un agent a été envoyé de Nelspruit pour récupérer la carte et la rapporter à la banque du même distributeur. Quelle histoire…Ne jamais se fier à un ATM d’une station d’essence. Les dysfonctionnements sont fréquents. Nous en sommes d’autant plus rassurés car ma carte est bloquée du fait de 3 codes erronés. J’essaie de résoudre le problème à distance, avec la banque en ligne en question. Un autre casse tête….Heureusement qu’il me reste la carte de ma banque habituelle.
Le 2 octobre 2019.
Départ, enfin, pour le Swaziland. Mais voilà que nous apprenons qu’il y a des manifestations contre la monarchie absolue. Dans quel état allons trouver le eSwatini ? Et puis, coup de grâce, sur la route, nous perdons la deuxième suspension avant gauche.
……
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eSwatini majoritairement polygame et 40% de séropositifs !
Car jacking très fréquent: rouler vitres fermées.
Voilà pour les infos que vous connaissez déjà ! Bon voyage !
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Coucou Béa ! Vitres fermées….dur dur avec plus de 30 degrés sans air conditionnée…oui on est prudent. Le prochain article te donnera plus d’information sur notre vécu et ressenti sur ce pays TRES surprenant…Bisous ma Cop’s.
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