Voici la recette de Thieboudien de Mariama de Pointe Sarène, écoutez, préparez et savourez :
Catégorie : 03. SENEGAL

Odette et « Madame » Sophie, enseignantes à Mbodiène
Odette et Madame Sophie, enseignantes engagées à l’école publique de Mbodiène
Odette, Directrice de Maternelle et enseignante à l’école publique de Mbodiène, écoutez :
Témoignange de Mala Dialo, parent d’élève à l’école, écoutez :
« Madame » Sophie, Enseignante à l’école publique de Mbodiène, écoutez :
Vendredi. Abdou, gardien de maison et avec qui nous faisant le tour du village, me lance : « Tiens, regarde ! C’est la maison du tailleur ». Ni d’une, ni deux, je pousse la grosse porte métallique entre-ouverte pour faire la connaissance de « Thio » tailleur émérite du village, installé là depuis plus de 40 ans. Il est là sur sa chaise et fait frémir sa vieille machine à coudre, qui tourne à bloc. Lire la suite
La pêche au filet
Ecoutez Adama, pêcheur à Nianing
ADAMA ancien réceptionniste devenu pêcheur à Nianing…
Ils sont 11 adultes dont 2 enfants à tirer les filets hors de l’eau. La scène se passe à une centaine de mètres de notre campement sauvage. Un enfant reste sur la pirogue colorée. Les autres pêcheurs forment deux lignes verticales face à la mer. Le filet forme un U à l’envers. La pêche « Banlaou » à la pirogue se distingue de celle au chalutier. Je m’approche d’Adama qui veut bien m’expliquer comment on pêche ici à Nianing et ailleurs au Sénégal.
La chorale de l’église de Nianing
Ecoutez cette superbe chorale de Nianing :
L’église apparaît soudainement à celui qui traverse Nianing. L’architecte a voulu reproduire la forme d’un coquillage. Sur les conseils de Jean Claude : « Ah !!! il faut aller écouter les gospels de la messe du dimanche matin ». Jean Claude vit ici, marié à une sénégalaise.
Nos premières journées au Sénégal
Nous avons passé la douane mauritanienne et sénégalaise en fin de journée. La route entre Nouakchott et Diama est affreusement difficile : pistes et route déformées, tôles ondulées d’une dureté incroyable. Fendi est en souffrance. Stéphane assure la conduite malgré tout, sereinement.
Les douaniers des 2 côtés n’avaient certainement qu’une hâte c’était de regagner leurs foyers respectifs. Je savais qu’ils allaient nous solliciter pour payer des taxes/backchichs en sus, mais je n’ai pas cédé. « Je n’ai plus d’ouguiyas, je ne savais pas, etc ». Je reste de marbre. J’ai réussi à troquer quelques objets contre le passage du pont (celui-ci était vraiment payant). Le temps est pour nous. Le fait peut être d’être une femme qui négocie les déstabilise. Bref, on s’en sort plutôt bien.