Nous avons vraiment eu du mal à quitter le Lac Kariba et sa quiétude. D’abord Tom, le manager, est vraiment très facilitant, puis le peu de monde présent, la rencontre d’autres voyageurs, comme Elodie et Maxime, toutes ces petites choses y ont contribué. Mais nous sommes désormais des nomades. La route nous appelle, comme les oisillons appelant leur mère tourterelle….Le plaisir de retrouver un autre lieu nous enchante. Moins celui de retrouver une grande ville comme Lusaka, capitale de la Zambie. On imagine une ville trépidante, bruyante et embouteillée.
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