
Nous arrivons dans la ferme de Mollesnetja un samedi, en fin d’après midi. Nous sommes le 21 mars. Les dernières vingt quatre heures ont été mouvementées, pour nous, en Bolivie. Mais nous avons réussi à arriver à temps dans notre refuge, aux pieds des montagnes (cf art. précédent).
Don Dimetrio, employé à la ferme et Pédro, son fils, sont là pour nous ouvrir le grand portail rouge. Un peu plus loin nous croisons Johanna, l’étudiante autrichienne, là depuis huit mois. Elle raccompagne quelques étudiants boliviens retournant chez eux. Puis Johanna nous propose un verre d’eau chaude au citron, dans la petite cuisine prévue pour les personnes extérieures (volontaires, étudiants, workawayers,…). Puis nous faisons la connaissance d’Adelheid et de Christian, tous les deux allemands et hôtes de la ferme de Mollesnejta.